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#187 You sing a sad song just to turn it around - Ezebel

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Ezekiel Malone
Ezekiel Malone
au secours, j'ai la trentaine !
Ezekiel Malone
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▲ Age : 38
▲ Quartier Résidentiel : Au domaine arkadia avec ma fiancée et notre fille.
▲ Occupation : Lieutenant de police
▲ Identité Sexuelle : Jezsexuel
▲ Cupidon : Il l'a aimait, elle a disparut, elle a cru à de mauvaises choses, maintenant il le sait. Maintenant qu'il l'a retrouvé. Il était en ville car il avait son nom et son prénom portée par une femme de la ville et il s'est avéré que c'était elle. Il n'a pas plus cherché que ça une fois en ville mais c'est lors d'une mission de surveillance à la galerie d'art qu'il tombe dessus. Il l'a raccompagné chez elle car elle n'allait pas bien, il aurait tout fait pour elle de toute façon. Il a vu une petite fille, il ignoré qui elle était, au début il a cru à un autre homme dans la vie de sa belle puis elle lui a avoué que c'était sa fille, le fruit de leur amour. Il n'arrive toujours pas à y croire. Ils viennent de se retrouver mais ils commencent à se pardonner et surtout ils continuent de s'aimer.
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au secours, j'ai la trentaine !
Mar 6 Juin - 11:57

   

   
You sing a sad song just to turn it around

   Ezebel
   

   

   
Une journée comme celle-la il y en a des centaines dans notre vie. Elles ne sont pas superbes, elles nous apportent rien à part des mauvaises choses mais pourtant il faut bien qu'on passe par là. En rentrant d'une journée d'observation sur un trafic de drogue, on rentre bredouille, on a vu personne, rien. Et je n'aime pas ce genre de journée, ce n'est que du temps perdu. Là, ça a été une journée de perdue, on aurait pu faire tellement d'autres choses. En plus de ça, on a été appelé dans le bureau du capitaine, il nous a parlé d'une nouvelle planque pour les trafiquants car il pense qu'ils savent qu'on les suit. En sous entendu il nous dit qu'on n'a pas été assez discret sur nos recherches, du moins c'est ce que je comprend. Je ne sais pas si c'est parce que je suis énervé de ma journée ou autre chose mais ce qu'il dit m'énerve. On ne pouvait pas être plus discret qu'on l'a été, il y a toujours un problème avec nous, notre équipe. On quitte le bureau, c'est la fin de la journée et j'en suis bien heureux, je vais pouvoir rentrer chez moi, me reposer et penser à autre chose que cette journée pourris.
En rentrant dans l'appartement, je vois qu'il est vide de présence humaine, Charlotte doit être sortis. Charlotte est sortis, elle a laissé un mot sur la table qui me dit qu'elle est parti voir des amis. Ca ne m'embête pas, elle a le droit de faire ce qu'elle souhaite, je préfère qu'elle sorte plutôt qu'elle reste à l'appartement, coulé à ses peintures qui ne sont que blanches car elle manque d'inspiration. Le mot, c'est sur un post-it, beaucoup de gens font ça, on se laisse des petits mots pour se dire où on est pour ne pas se chercher, mais chez les Malone, c'est une habitude de laisser un mot, on préfère ça à un vulgaire SMS. Notre mère le faisait souvent. Elle avait une passion pour les post-it qui pouvait être dérangeante à force d'en voir partout. Heureusement on n'invitait personne à la maison, ça aurait été bizarre de voir des post-it collé un peu partout, mon père aimait lui dire qu'elle perdait la tête, ça nous faisait bien rire. Je m'assois sur le canapé, une bière à la main, j'ai l'impression de ruminer. Je n'arrête pas de penser à ce qu'on a pu faire de mal pour qu'ils remarquent qu'on le suivait. Je finis ma bière, je ne peux pas rester là, seul. Je file prendre une douche pour me séparer de la transpiration de la journée. Un tee-shirt blanc et un jean noir, rien de plus banal mais j'aime beaucoup ce jean. Je donne à manger à Gaston, mon pauvre chat qui reste seul ces derniers jours. Bon, insociable comme il est, il doit être heureux d'avoir l’appartement pour lui tout seul ce soir. Peut-être qu'il va faire comme dans « comme des bêtes » et qu'il va inviter tous ses amis chats. Oui je regarde des films pour gamins mais ça me détend. Puis non, il n'a pas d'amis Gaston, c'est un solitaire.
Je gare ma voiture devant le manoir de Jezabel. Je sais que j'ai besoin d'être avec elle ce soir, en tout cas, ce sera beaucoup mieux que d'être seul chez moi. Quand j'arrive devant la porte, je me dis que j'aurais dû la prévenir de mon arrivée même si mon envie de venir ici, de la retrouver c'est faîte sur un coup de tête. Puis tant pis, je frappe à la porte en espérant qu'elle soit là.
   

   

   
Ezekiel Malone
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Mar 6 Juin - 17:39

   

   
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   Ezebel
   

   

   
Ma journée c’était relativement bien passée, j’étais contente. Dia avait été à l’école et cela s’était merveilleusement bien passée. Elle revenait très souvent de la classe avec le sourire, chose qu’elle ne faisait pas avant. Je me doutais que l’arrivée de son père lui faisait plaisir et elle aimait passer du temps avec lui. J’avais été cherchée Dia à l’école cet après-midi et elle avait été un peu triste de ne pas voir Ezekiel avec moi. Je la réconfortais en lui disant qu’il avait du travail et que donc il ne pouvait pas être présent aujourd’hui mais qu’un jour, il me raccompagnerait pour venir la chercher. En rentrant, je préparais le goûter de la princesse en souriant. Pendant qu’elle goûtait devant la télévision et son programme pour enfant préféré, je me remis à écrire avant d’être dérangé par le téléphone. Décrochant, je manquais de tomber par terre en entendant la voix de mon père. Il ne m’avait pas parlé pendant trois ans, pas depuis que je lui avais dit que je gardais mon enfant sans son père et il n’avait pas réellement apprécié. Cela me faisait terriblement plaisir de l’entendre et surtout, qu’il me demande comment allait Dia. Je me doutais bien que maman avait donné des informations à mon père mais qu’il me demande ainsi comment ma fille, sa petite-fille, pouvait aller, c’était presque inespéré pour moi. On discuta tous les deux un long moment avec qu’il ne me passe ma mère. La soirée s’annonçait radieuse d’autant que ma mère ajouta qu’elle et mon père allait certainement passer au Canada pour une visite officielle et faire un détour à Heatherfield pour me voir et rencontrer Dia. Je fus soudain comme prise au piège. J’avais envie de dire à ma mère que je pouvais toujours les rejoindre discrètement à Toronto, lieu de leur visite mais elle insista pour venir jusqu’à chez moi. Elle ajouta qu’ils se feraient très discrets pour ne pas que je sois embêté par les journalistes par la suite mais j’avais peur. Ezekiel ne savait pas qui étaient mes parents et je n’avais pas prévu que ces derniers viennent. Hors Dia allait forcément leur parler de son père et ils découvriraient qu’il est à Heatherfield et voudraient absolument le rencontrer. Et comme ma mère pouvait être têtue, il ne me restait plus qu’une solution, parler à Ezekiel. C’était ce qui était prévue la prochaine fois que l’on se verra. J’ignorais encore quand mais je devais lui parler. Alors que j’allais demander à ma fille ce qu’elle voulait manger ce soir, si elle voulait que l’on cuisine ou que l’on sorte, j’entendis frapper à la porte. Quittant mon bureau, je m’approchais d’une fenêtre du salon avant de sourire en voyant qu’Ezekiel se trouvait devant la porte. J’allais ouvrir la porte au jeune homme, contente de le voir et à la fois stresser. Parce que je m’étais juré de lui dire toute la vérité la prochaine fois que je le verrais et apparemment, cette prochaine fois était aujourd’hui. « Coucou toi. Entre. » Je refermais la porte derrière Kiel avant de le conduire jusqu’au salon où Dia sauta du canapé pour se précipiter vers son père pour lui dire bonjour. « Comment vas-tu? Tu veux boire quelque chose? » Autant attendre un peu avant de lui dire que j’avais quelque chose d’important à lui révéler. Qu’il soit confortablement installé sur le canapé parce que je sentais que j’allais avoir du mal à lui dire toute la vérité.
   

   

   
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Mer 7 Juin - 15:51

 

 
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  Ezebel
 

 

 
C'est vraiment devant la porte de chez elle que je me dis que j'aurais pu l'appeler avant, pour savoir si je peux passer. Si ça se trouve elle avait prévu quelque chose pour ce soir chez elle. Peut-être une sortie avec Dia, après l'école. Si ça se trouve elle n'est même pas là. Au pire, ça m'aura fait une sortie, ça m'aura aérer le cerveau, cela ne m'a pas fait de mal. Vu qu'il fait beau, tous les voisins sont dehors, si je retourne à ma voiture bredouille, ils vont me juger. Bon, les jugements je m'en fiche complètement mais je ne veux pas qu'ils aillent dire à Jez qu'un homme est venu frapper à sa porte. Puis tant pis, je suis là, devant la porte, je ne peux plus faire marche arrière, si elle n'est pas là, comme je l'ai dit ça m'aura sortie, je n'aurais qu'à l'appeler pour savoir où elle est et savoir si je peux la rejoindre. Car oui, j'ai besoin de la voir, besoin de plonger mon regard dans ses magnifiques yeux. J'ai besoin d'elle comme j'en est toujours eu besoin, comme avant, il y a trois ans. Un problème, je venais la voir, j'allais mieux, j'espère qu'aujourd'hui c'est toujours pareil. Elle ne met pas longtemps à ouvrir la porte. Je suis heureux qu'elle soit chez elle, avec de la chance Dia est aussi là, je vais aussi la voir, ma fille. C'est toujours aussi bizarre de dire ça. Je suis passé du pauvre gars qui s'est fait largué de la pire des façon au père de l'enfant de celle qui l'a largué comme une merde. Elle est absolument sublime mais je crois que là, ce sont mes sentiments pour elle qui parlent. Je l'ai toujours trouvé parfaite physiquement, rien n'a dire, peut-être que pour d'autres elle n'est pas aussi belle que moi je le pense mais je m'en fiche, c'est la mienne, à moi, les autres on s'en fiche. Je lui offre un grand sourire. Je ressens à nouveau cette sensation de bien être quand je suis en sa compagnie. Elle me laisse rentrer dans son manoir, qui est toujours magnifique. Je n'avais jamais pensé à la voir habité dans un tel endroit, après tout moi je lui offrais juste un petit appartement, même si on n'a pas besoin de grandes choses pour aller bien. Avant d'aller au salon où je pense que Dia m'attend, je me rapproche de Jezabel. Je l'embrasse tendrement, un baiser dont j'ai rêvé depuis que j'ai quitté sa maison la dernière fois. C'est fou qu'elle soit devenue aussi vitale pour moi, pour ma survie. Je l'embrasse là car je ne veux pas devant Dia, vu ce qu'elle nous a sortis la dernière fois où elle a trouvé nos hauts dans l'entrée, je pense qu'on ne doit pas lui donner plus d'espoir par rapport à un petit frère ou une petite sœur. Elle a l'air curieuse et surtout intelligente, il ne faut rien lui montrer. « Bonsoir. » dis-je d'une voix sans colère alors que cinq minutes j'aurais pu envoyé chier tout le monde. Elle a ce pouvoir de m'apaiser. Puis on se dirige vers le salon où Dia se précipite dans mes bras pour me saluer. Je la porte et lui fait un bisou sur la joue. « Je vais très bien, et vous ? Pas trop fatiguant cette journée ? » Je préfère dire que tout va bien, Dia est là, je ne veux pas qu'elle se fasse de mauvaises idées sur moi et je ne veux surtout pas que notre soirée parte d'un mauvais point. « Hum… Un café s'il te plaît, ce sera parfait. » Même si Dia reste toujours collé à moi, je prend plaisir à la voir, à la regarder, à remarquer tous les points communs qu'elle a avec Jezabel.
 

 

 
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Mer 7 Juin - 18:06

   

   
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   Ezebel
   

   

   
J’étais bien contente que ma journée toute seule soit enfin terminée. Après tout, je n’aimais pas spécialement rester seule mais c’était le seul moyen pour que mon roman s’écrive. Quand Dia rentrait, elle me prenait toute mon attention et je ne pouvais plus écrire. Mais je m’en fichais pas mal, je préférais de loin vivre avec Dia que vivre seule. Je n’étais pas une solitaire, j’avais toujours eu besoin de quelqu’un autour de moi. Avant, c’était ma famille, puis ça avait été Ezekiel et maintenant, c’était ma princesse. N’ayant jamais été réellement toute seule, les rares fois où je recherchais la solitude, c’était quand je n’étais pas bien. Dia était tranquillement installée devant la télé alors que je tapais mon roman à l’ordinateur quand j’entendis frapper à la porte. M’approchant de la fenêtre, je vis qu’il s’agissait d’Ezekiel et j’eus un sourire mystérieux pour ma fille quand elle me demanda qui avait frappé. J’allais rapidement jusqu’à la porte d’entrée pour ouvrir au jeune homme. Je me laissais avec plaisir embrasser, cela m’avait manqué depuis les quelques jours où nous ne nous étions pas vu. J’avais senti que le jeune homme n’était pas bien mais il n’en laissait rien paraître, comme si ma présence avait toujours ce pouvoir de l’apaiser. S’il arrive à oublier ses soucis, c’est parfait, j’avais prévu de lui dire toute la vérité. On s’approche du salon et Dia s’approcha doucement avant qu’Ezekiel ne la prenne dans ses bras pour déposer un bisou sur la joue. Je vois au visage de ma fille qu’elle est terriblement contente d’être dans les bras de son père et elle ne peut s’empêcher de secouer la tête quand Kiel lui demande si sa journée n’a pas été trop fatigante. « Non, pas du tout. J’ai joué avec Bobby toute la journée. Tu avais raison pour le cadeau, il a aimé. » Je ne pus m’empêcher de sourire. Dès le lundi ayant suivi cette proposition d’Ezekiel, Dia avait offert avec un dessin à Bobby et depuis, je n’entendais plus parler de Katye. A croire que Bobby ne s’intéressait plus qu’à ma petite puce. Je proposais à Ezekiel quelque chose à boire et il me demanda un café. Dia en profita pour monter dans sa chambre, prétextant vouloir montrer quelque chose à Ezekiel. Parfait, nous serions tous les deux pour discuter. Je pris la route de la cuisine pour faire couler son café à Kiel, me souvenant encore parfaitement de comment il prenait ce dernier. Je lui tendis sa tasse avant de commencer à me tordre les mains. Je savais que c’était le parfait moment pour lui avouer la vérité mais j’avais peur de me prendre son café en plein visage. Tant pis, il fallait que je saute le pas. « Ecoute, il faut que je t’avoue quelque chose. Je… Voilà, quand je me suis inscrite à la faculté de Californie où nous nous sommes rencontrés, j’ai pris un nom d’emprunt. Je ne suis pas une Carpenter, je ne sais même pas s’il y a une famille qui porte ce nom quelque part sur terre. Ma famille s’appelle Windsor, la famille royale britannique qui règne sur l’Angleterre depuis des siècles. Mon père est le Prince Charles et ma mère, son épouse Camilla Parker-Bowles… Je suis la demi-sœur des princes William et Harry… » Voilà, il savait désormais tout ce que je lui avais caché pendant des années. J’espérais sincèrement qu’il ne le prendrait pas mal et c’est pourquoi je le regardais. Je ne le quittais pas des yeux, guettant tout signe de réaction de sa part qu’elle soit positive ou négative. J’avais cet espoir qu’il comprendrait que je n’avais pas voulu lui cacher ça toute ma vie mais j’avais eu peur, peur que notre relation ne change s’il venait à apprendre qui j’étais réellement, s’il venait à apprendre qu’un jour, je serais peut-être amené à prendre la place de la reine si elle venait à décéder et si mon père et mes frères refusaient le trône. Je mettais beaucoup d’espoir dans la réaction d’Ezekiel, peut-être trop.
   

   

   
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Jeu 8 Juin - 10:39

 

 
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  Ezebel
 

 

 
J'ai horreur d'attendre longtemps devant chez quelqu'un avant que la personne ouvre, je me sens gêner. Heureusement elle n'a pas mis longtemps. Elle est magnifique, elle me rappelle toujours la chance que j'ai quand elle me sourit comme ça. J'ai revu Dia aussi, ça m'a fait plaisir et je pense que ça lui a fait plaisir de me voir aussi. Je me sens tellement à ma place dans leur famille, il faudrait bien que j'envisage d'être là plus souvent, que j'essaie de dire à Jezabel que je veux rester avec elles. Car, quand je ne suis pas ici, elles me manquent. Mais pour Jezabel, ce n'est pas le même manque que j'aurais pu ressentir il y a trois ans, c'est le manque sur l'instant car je sais que je vais la revoir, je sais à peu près où elle se trouve, en un coup de voiture je peux la retrouver. Alors que pendant ces trois ans, c'était un manque obsessionnel, j'avais besoin d'elle mais j'étais impuissant face à l'immensité de la planète vu qu'elle pouvait théoriquement être partout. Elle pouvait se cacher dans l'appartement d'à côté comme à l'opposé du globe. Je n'avais aucune idée, aucun indice. Aujourd'hui c'est différent et je me sens tellement bien. Dia me raconte qu'elle a offert un cadeau à Bobby et qu'après elle a joué avec lui toute la journée. Je lui souris. Je suis content pour elle que mon idée ait marcher. Bye bye celle qui faisait chier tout le monde et bonjour le nouveau petit couple de l'école. Est-ce qu'on peut parler de couple à l'école ? Car à cet âge là on ignore ce qu'est l'amour ou au pire on voit celui que se porte nos parents, or Dia elle n'a pas du le voir souvent ça vu qu'on était séparer. J'ai eu envie de lui répondre que j'ai toujours raison mais ça aurait sonner bizarre de ma bouche alors je lui souris juste et je lui prouve que je suis content pour elle. Il faudra qu'elle m'en reparle de ce Bobby, il faudra même que Jezabel me dise si il est fréquentable. A trois ans, on sait déjà si l'enfant est fréquentable ou pas, je vous l'assure. Je repose Dia par terre et elle file à l'étage, elle dit qu'elle va chercher quelque chose pour moi. J'ai hâte de voir ça. J'ai hâte de rentrer chez moi avec des dessins. Je regarde Jezabel aller dans la cuisine pour mon café, pendant ce temps là, je m'assois à la table. Je ne voyais pas l'avantage d'être debout, au moins je pourrais poser ma tasse de café car je suis assez maladroit, je vais ébouillanté quelqu'un sans le faire exprès. Elle m'apporte mon café, je la remercie verbalement. Je vois que quelque chose la tracasse, son tic de se tordre les doigts quand elle doit parler de quelque chose mais qu'elle n'ose pas forcément. Je ne veux pas la forcer, je la connais, plus on va la pousser à faire quelque chose, plus elle va se braquer. Je bois une gorgée de mon café, elle l'a fait comme je l'aime, c'est génial. Alors j'attends, pas vraiment longtemps car elle se lance. Le temps qu'elle me parle, je pose ma tasse sur la table, heureusement qu'il y a une table sinon je l'aurais lâché sur le sol. Je ne peux pas croire ce qu'elle me dit. J'ai envie de rire car ça sort du réel mais elle a l'air super sérieuse alors je ne souris plus. Je ne peux pas la croire, vraiment, c'est trop bizarre qu'elle soit dans cette famille, et même qu'est-ce qu'elle faisait en Californie alors ? Elle m'a menti sur qui elle est depuis le début. « Pourquoi tu m'a toujours menti ? Qu'est-ce que tu faisais en Californie ? Je pense qu'il y a assez d'universités en Angleterre, surtout dans le droit. » Je ne voulais pas paraître méchant envers elle mais je ne comprend pas et ma voix est un peu dure. C'est bien qu'elle soit venu en Californie, sinon je ne l'aurais jamais rencontré, mais pourquoi me mentir ? Est-ce qu'elle pensait que j'allais la juger parce qu'elle est d'une famille princière, alors je juge comme ça, c'est comme ça qu'elle me voyais à l'époque ?
 

 

 
Ezekiel Malone
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Jeu 8 Juin - 11:25

   

   
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   Ezebel
   

   

   
Le tableau qu’Ezekiel et Dia m’offrent me fait sourire. Ils étaient tellement mignons tous les deux que je n’ai pas envie que cela cesse, j’avais envie de voir ça tous les jours. Mais je sais qu’avec ce que j’ai à lui annoncer, l’avenir devient très incertain. Ezekiel pourrait tout à fait prendre mal le fait que je lui ai toujours caché qui j’étais réellement et ne plus jamais vouloir me revoir. Auquel cas, je me sentirais tellement mal pour Dia. Elle était tellement heureuse de voir son père qu’elle serait dévastée s’il venait à ne plus jamais vouloir nous voir. Elle pourrait même m’en vouloir, j’en étais persuadé. Mais il fallait que je le fasse, ce mensonge n’avait que trop duré. Kiel reposa sa fille au sol et cette dernière fila dans sa chambre pour chercher quelque chose. Je me souvenais qu’elle avait fait un dessin au jeune homme et c’était certainement ce qu’elle allait chercher. Mais cela risquait de prendre du temps pour qu’elle le retrouver car elle avait rangé sa chambre. Je file dans la cuisine pendant que Dia monte à l’étage pour faire le café du jeune homme. Pendant que le café coulait dans la tasse, je me remémorais ce que je devais lui dire pour ne pas me perdre. Je ne voulais pas cafouiller, je voulais que tout soit fluide et c’était donc pour cela que je révisais mon texte, comme un acteur avant une scène. Attrapant la tasse, je retrouvais le jeune homme assis à la table et j’eus un petit sourire. Après lui avoir tendu sa tasse, je me mis à parler, lui avouant tout ce que je lui avais caché pendant nos trois ans de vie commune. Il a perdu son si joli sourire et je sens poindre l’engueulade, la grosse dispute. Je savais que j’avais pris un risque en lui avouant tout mais pour notre bien à tous les deux, il fallait que je lui avoue la vérité, que j’arrête de lui cacher toute ses choses sur ma famille. J’espérais qu’il allait comprendre et ne pas se braquer. Je m’avançais doucement avant de poser ma main sur son bras. « Je ne t’ai pas menti, je t’ai caché la vérité. Disons que… Ce n’est pas toujours facile d’être une Windsor, le regard des gens à tendance à changer quand ils l’apprennent. Et puis, les journalistes ne te lâchent pas. En venant en Californie, je voulais prendre mes distances, essayé d’avoir une vie normale et je savais qu’en parler à une personne serait prendre un risque, le risque d’être à nouveau harcelé par les paparazzis… Tu comprends pourquoi je suis venu en Californie, pourquoi je ne suis pas resté en Angleterre… » J’espérais sincèrement qu’il comprendrait. Néanmoins, j’étais contente d’une chose. Il ne s’était pas énervé comme j’aurais pensé qu’il le ferait. Même s’il avait perdu son sourire, je pensais que c’était sous le coup de la surprise. Pour moi, c’était gagné, il me comprenait. Je m’assis sur la chaise à côté de lui, gardant toujours ma main sur son bras, un léger sourire aux lèvres.
   

   

   
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Jeu 8 Juin - 23:34


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Je tombe des nus, elle me sort ça comme ça. Elle n'a pas remarqué que je n'étais pas d'humeur, surtout pour ce genre de révélations. C'est comme si cette journée n'allait pas en finir. Mon dieu, quand je la regarde, elle a l'air d'aller mal, j'ai pas envie de m’énerver contre elle mais elle n'arrange rien avec ses propos. Elle m'avait menti, c'était clair. M'avoir caché la vérité ? Elle veut savoir ce qu'est que cacher la vérité ? Moi je lui ai caché la vérité sans jamais lui mentir. Je ne lui ai jamais dit pour ma famille mais je ne lui avais pas fait croire que j'appartenais à une autre famille. A vrai dire, je ne veux pas m’énervai mais comment, là ? Avec ses propos elle essaie d'arrondir les angles en se trouvant des excuses par rapport à son mensonge, à sa famille. Je ne la regarde plus, je fixe mon café. Ca bout à l'intérieur de moi. Je bois une nouvelle gorgée. Pour calmer les palpitations du coeur, le café n'aide en rien mais le silence pèse. Je retourne ce qu'elle m'a dit dans tous les sens dans ma tête. Je ne sais pas comment le prendre, je ne sais pas comment réfléchir. J'ai besoin de marcher, de faire autre chose que juste être assis là à attendre plus d'explications, des explications qu'elle ne me donnera pas. Décidément, je ne connais rien d'elle, pas sa famille, pas sa façon de pensé vu qu'elle est partis il y a trois ans. Je finis mon café très vite et je me lève de la table. Ca peut sembler bizarre mais marcher m'a toujours aidé à réfléchir. A l'école, je révisais toujours comme ça, en marchand dans ma chambre. C'est comme si ça fait bouger mes neurones et que ça les aide à se toucher. Je me retournes vers elle, je sais que je vais peut-être la blesser, je n'espère pas mais je n'aime pas qu'on me mente, j'ai l'impression de ne pas être digne de confiance, mais surtout elle. Je lui ai toujours caché ma sœur, mes parents mais jamais j'ai menti sur eux. Elle ne sait pas qu'ils sont célèbres parce qu'elle m'a jamais vraiment demandé ce qu'ils faisaient. Elle ne me parlait pas des siens, je ne savais pas si je devais parler des miens, c'était donnant-donnant. « Tu m'as menti. Il n'y pas d'autres mots que mentir. Tu m'as donné l'identité d'une femme qui n'est pas toi. Moi je t'ai caché la vérité, je ne t'ai jamais dit qui sont mes parents, leurs métiers mais jamais, je dis bien jamais je t'ai donné un faux nom de famille. Si tu vas sur internet, tu tapes Malone, tu tomberas sur la faute de ma mère voir de mon père et quand tu verras ce George Malone, cameraman tu remarqueras à quel point je lui ressemble, tu iras sur wikipédia et tu verras avec qui il est marié depuis des années, tu calculeras et tu devineras qui est ma mère. Je ne t'ai jamais donné de faux indices. » J'essaie de me calmer mais c'est presque impossible. « Je sais que nos familles ne sont pas les mêmes, que tes parents sont suivis partout et encore. Mais les paparazzis on peut les éviter, du moins on peut essayer. Regardes sur internet, cherches une photo de moi enfant, jamais tu n'en trouveras une, ma famille me protéger, ta famille aurait pu te protéger. Puis la Californie, drôle de choix pour se cacher, c'est un nid à paparazzis cet Etat. » Elle ne va pas bien, je l'ai blessé, je suis un abruti, je l'avais enfin retrouvé. Mais cette dispute va nous aider, j'en suis sur. Je sais qu'il faut que ça explose pour mieux être après, on repartira sur de bonnes bases. Alors que je gesticulait dans tous les sens, je me calme, reste immobile et me permet de la regarder dans les yeux. « C'est à cause d'eux que tu es partis ? Des paparazzis, de tes parents ? »


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Ven 9 Juin - 0:09

   

   
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J’avais été loin de me douter que la situation allait dégénérer de cette façon. Pour moi, Ezekiel allait pouvoir comprendre que j’avais juste voulu me protéger, que jamais je n’avais voulu lui mentir. J’avais juste arrondis les angles pour passer un peu plus inaperçu. Mais j’aurais dû me douter qu’il ne pourrait pas comprendre ce que j’avais vécu en Angleterre. Le jeune homme me lâcha du regard, me faisant doucement paniquer. Et s’il venait à s’énerver? Désormais, j’avais réellement peur qu’il ne s’énerve car il ne donnait pas l’impression de prendre correctement ce que je lui disais. Il termina son café rapidement et quitta la table pour se mettre à marcher. Je le suivais du regard, ne comprenant pas ce qu’il pouvait bien faire, ce qu’il pouvait bien penser. J’étais réellement perdu et je sentais que je commençais à trembler. Quand il reprit la parole, je ne pus m’empêcher de baisser la tête. Il ne prenait définitivement pas la chose de la meilleure des façons. Il ne comprenait pas que je faisais un gros effort pour lui dire la vérité, tout ce qu’il voyait, c’était que je lui avais menti. Bon, d’accord, je mettais du temps à lui avouer la vérité mais mieux vaut tard que jamais… Expression à la noix… Il aurait fallu que je lui dise la vérité bien avant, dès que nous avions commencé à nous fréquenter autrement que comme de simples amis mais j’avais eu peur. Je ne connaissais pas Ezekiel aussi bien que maintenant et j’avais eu peur qu’il ne change vis-à-vis de moi. Et au fur et à mesure que le temps passait, j’avais eu soudain peur qu’il ne me quitte pour lui avoir caché la vérité. J’avais vécu dans la peur toute ma vie en réalité. Il ajouta que l’on pouvait se protéger des journalistes, que ma famille aurait pu m’aider. Non, elle n’aurait rien pu faire. Je redressais alors la tête, me faisant toute petite dans mes chaussons. « Kiel… La famille royale anglaise ne protège pas les siens, elle les expose en trophée. J’avais onze ans quand j’ai fait mon entrée à la cour anglaise. Tu veux savoir comment les tabloïds anglais m’ont surnommé? La bâtarde. Parce que mon père était encore l’épouse de la princesse Diana quand je suis née. Comment crois-tu qu’une petite fille de onze ans puisse réagir en apprenant ça, en tombant sur cette une d’un journal laissé volontairement en place par un membre du personnel qui préférait la princesse Diana à ma mère? Alors non, ma famille n’aurait rien pu faire pour me protéger… » Je me souvenais encore de ce traumatisme, il était encore une brèche ouverte dans mon cœur. Ezekiel me demanda soudain si c’était à cause de sa si j’étais partie et je compris qu’il parlait d’il y a trois ans, quand j’avais quitté la Californie enceinte de Dia. Je devais garder mon calme, ne pas me mettre à pleurer parce que sinon, je n’allais jamais pouvoir m’arrêter. Je hochais donc doucement la tête, contenant un maximum mes émotions. « Je t’ai dit que j’étais partie à cause de mes parents. Quand ils ont appris que j’étais enceinte, tu sais quelle réaction ils ont eu? Tu vas lui demander de t’épouser, on ne veut pas d’un deuxième bâtard dans la famille. Mon propre père me considère comme un bâtard. Si je suis venue au café, c’était pour t’en parler, pour te dire que mes parents voulaient que l’on se marie. Mais j’ai eu peur, encore une fois. Nous n’avions jamais parlé mariage tous les deux, cela ne faisait que trois ans. J’ai eu peur que tu n’ais pas cette envie. Déjà qu’un enfant cela faisait beaucoup à digérer alors un mariage… » Je quittais la chaise sur laquelle j’étais assise, m’approchant du jeune homme. Je posais doucement ma main sur son épaule, espérant le calmer. J’y étais toujours plus ou moins arrivé dans ce genre de moment et j’espérais que cela serait toujours le cas. J’avais besoin qu’il se calme, je voulais qu’il se calme pour qu’il comprenne tout ce que j’avais pu vivre. « Calme toi, s’il te plait. Pense à Dia. » Bon, au moins, je lui disais clairement ce que je voulais. Dia était encore à l’étage, je ne voulais pas qu’elle redescende pour nous trouver en pleine dispute.
   

   

   
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Ven 9 Juin - 14:50


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Ce qu'elle me dit me rappelle à l'ordre. Peut-être que j'étais monter sur mes grands chevaux tout de suite. Peut-être qu'elle a raison, que nos familles sont bien différentes. Je suis triste d'apprendre comment on l'a traité quand elle était plus jeune. Si ça se trouve j'ai été le seul à l'aider à avoir une vie normale. Je suis partagé dans mes sentiments, je ne sais pas quoi choisir. Je pourrais la prendre dans mes bras pour lui montrer que je suis là, pour la protéger comme un homme ferait pour la femme qu'il aime. Mais j'ai envie de partir, vraiment. Elle aurait dû tout me dire quand ça a commencé à être sérieux entre nous. Je n'ai jamais été faux envers elle. Même si elle me l'avait dit, je ne l'aurais pas laisser en plan. Elle ne me faisait pas confiance, à l'époque ? Ca me fait du mal car j'aurais pu tout lui dire. J'aurais pu la protégé, on aurait pu partir loin, elle et moi. « Je suis désolé Jez. Vraiment. Ta famille ne faisait rien mais moi j'aurais pu te protéger. Tu aurais pu me le dire, je ne t'aurais pas mis de côté à cause de ça. Car au final, tu n'as rien d'eux. Juste à moi, tu aurais dû le dire juste à moi, je ne l'aurais dit à personne, tu me connaissais bien déjà à l'époque » Je n'ai plus l'air énervé, je suis juste triste qu'elle ne m'ait pas fait confiance, qu'elle ne m'ait pas montrer qui elle était vraiment. Moi, j'aurais pu lui dire aussi qui j'étais, ça serait revenu au même, on n'en sera pas là aujourd'hui, surtout pas là à s'engueuler à ce sujet. Elle répond avec une voix assez calme à ma question. Je ne sais même pas comment elle fait pour rester calme, face à quelqu'un comme moi j'aurais péter un câble, je sais que je n'ai pas eu la bonne réaction, en tout cas pas celle qu'elle aurait aimé. Mais l’histoire du mariage, ça me fend le coeur, je ne peux croire qu'ils voulaient qu'on se marie. Une nouvelle fois, on en revenait au fait qu'elle a cru que je l'avais trompé. Merde, si je lui avais présenté ma sœur, elle serait ma femme aujourd'hui. Je ne lui répond pas, je n'ai pas envie de répondre car je serais méchant ou je me mettrai à pleurer. Sauf que pleurer n'est pas la solution, ça me montrerais comme un faible devant Jez ce que je n'ai pas envie. Elle ne le sait pas, mais je voulais lui faire ma demande, si elle m'en avait parlé, je lui aurais fait dans les jours qui auraient suivis ou sur le champ, je voulais qu'elle soit ma femme. J'avais passé les trois meilleures années de ma vie à ses côtés, c'était obligé que je lui demande de me suivre dans le reste de ma vie. Je ne lui répond pas alors qu'elle se lève, qu'elle se rapproche de moi, qu'elle pose sa main sur mon épaule. Elle avait toujours réussis à me calmer comme ça, sur le coup, ça me calme, j'aime nos contacts, j'aime quand elle fait ça mais j'ai besoin de temps pour digérer ces révélations. J'avais aussi besoin de temps pour m'accepter moi car c'était aussi de ma faute si tout ça c'était passé. J'avais cette envie folle de l'épouser, de l'aimer. Je pose ma main sur l'arrière de son crâne, je viens déposé un baiser sur son front. J'ai besoin d'être seul. « Je suis désolé, j'ai besoin de temps. » lui dis-je dans un souffle. J'enlève sa main de mon épaule avec ma main droite, je ne la lâche pas avant quelques secondes. Je finis par me retourner pour quitter le manoir.


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Ven 9 Juin - 16:14

   

   
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J’espérais que j’avais réussi à calmer Ezekiel en lui expliquant pourquoi je ne lui avais pas dit toute la vérité sur la jeune femme que je pouvais être. Il n’empêche que ce qu’il m’avait dit concernant sa famille me turlupinait également mais j’avais d’autres chats à fouetter que de me poser des questions sur la famille de l’homme que j’aimais. Bien sûr que j’irais faire des recherches pour en apprendre plus sur les Malone quand j’aurais le temps mais pour l’instant, j’essayais de faire en sorte que le jeune homme me pardonne. Je baissais simplement la tête quand il m’expliqua qu’il aurait pu me protéger, que j’aurais dû lui faire confiance. S’il savait à quel point je m’en voulais pour toute cette histoire… J’aurais tellement aimé tout reprendre du début, tout lui expliquer sur qui j’étais et surtout, ne pas partir comme une voleuse en le surprenant avec sa sœur. Je redressais la tête quand il posa sa main sur l’arrière de mon crâne. Je pensais qu’il m’avait pardonné, qu’il allait m’embrasser. Il se contenta de m’embrasser sur le front en me disant qu’il avait besoin de temps. Je restais sans réaction dans la cuisine, entendant simplement ses pas s’éloigner. J’étais sous le choc, littéralement. Je ne m’étais absolument pas attendu à cette réaction de la part du jeune homme et je me sentais terriblement mal. Au même instant, Dia entra dans la cuisine tout sourire. Elle chercha Ezekiel du regard mais ne le trouva pas. « Maman, Kiel, il est où? » Je ne pus empêcher un sanglot de venir secouer mes épaules alors que j’essayais de contenir mes larmes. Je ne voulais pas pleurer devant ma princesse mais je n’arrivais plus à me contenir. Je tombais à genoux dans la cuisine, une main plaquée sur ma bouche alors que des larmes commençaient à couler de mes yeux. Dia s’approcha de moi, inquiète et je ne pus m’empêcher de secouer la tête en la regardant. « Il est parti ma chérie… » Je déposais un baiser humide sur le front de ma fille avant de me relever. Je quittais la cuisine, n’osant pas regarder l’entrée du manoir, sachant qu’Ezekiel devait déjà être loin. C’est la mort dans l’âme que je montais l’escalier, rejoignant ma chambre. Une fois la porte de cette dernière fermée, je m’adossais à cette dernière, fondant littéralement en larmes. C’est à quatre pattes que je rejoignis mon lit pour sortir la boite à souvenir que j’avais emporté avec moi de Californie. Toute ma vie commune avec Ezekiel s’y trouvait. Levant le couvercle, je farfouillais un court instant dedans, sortant le bracelet que le jeune homme m’avait offert, son premier cadeau de couple. Il l’avait fait lui-même et je n’avais pas eu à cœur de le laisser dans notre appartement. Je le passais assez facilement à mon poignet avant de monter sur mon lit, me roulant en boule, la tête dans mon oreiller pour atténuer mes pleurs. J’étais en pleine crise d’angoisse, je manquais de m’étouffer à chaque respiration. J’avais littéralement tout gâché. Ezekiel ne me pardonnerait certainement jamais de lui avoir caché la vérité. Je l’avais perdu définitivement…

Dia avait regardé sa mère monter l’escalier, son petit regard tout inquiet. Elle quitta la cuisine, cherchant Ezekiel du regard. La petite fille courut jusqu’à l’entrée et sortit à l’avant de la maison. Elle espérait pouvoir l’empêcher de partir. D’autant qu’elle ne lui avait pas montré son dessin, son si joli dessin où elle avait représenté ses parents et elle-même devant une petite maison. Elle réussit à le rattraper avant qu’il ne soit trop proche de sa voiture et elle se colla à ses jambes. Elle avait entendu les cris de ses parents, elle savait qu’ils s’étaient disputés mais elle ne voulait pas le voir partir. Dia était une petite fille intelligente et elle avait parfaitement compris ce qu’il c’était passé. « Papa… Reste, s’il te plait… » C’était la seule chose qu’elle avait eu envie de dire. Elle n’aimait pas voir sa mère triste, cela lui faisait mal mais elle ne savait pas comment la réconforter. Alors elle espérait que son père arriverait à le faire.
   

   

   
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Sam 10 Juin - 12:22


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J'ai l'impression de faire la pire connerie de ma vie, je n'aime pas cette impression, c'est vraiment étrange. C'est comme si une force extérieure essayer de te dire quelque chose, te repousse, t'empêcher d'avancer vers là où tu le souhaites. Alors que je suis dans l'entrée du manoir, je regrette mais je ne peux plus faire marche arrière, j'ai dit ce que je pensais, ce que je voulais. Je l'entends monter les escaliers, peut être qu'elle croit que je suis déjà loin, même dehors mais non, j'avance très lentement. Je l'ai vu son regard avant de me retourner, elle était décomposée. Quel genre de copain suis-je ? C'est rien que pour ça que je pars car je me rend compte que je ne suis peut-être pas assez bien pour elle. Je ne la mérite pas vu tout le mal que je lui ai fait, car je lui en ai fait pendant trois ans, trois ans où elle a cru que je l'avais trompé, j'ai dû la rendre malheureuse, par ma faute. J'essaie de ne pas retourner la voir mais j'imagine son état et ça me fait mal au coeur. Je sors dehors, je ne sais même pas si je ferme bien la porte, j'ai l'impression de ne plus être maître de mes actes. Je lance un dernier regard au manoir, c'est comme si j'allais plus revenir ici. Quand je me dirige vers ma voiture que j'ai garé devant le manoir, quelqu'un s'accroche à ma jambe. J'ai eu peur puis sa petite voix me fend le coeur. « Papa… Reste, s'il te plait... » Je venais de faire souffrir sa mère, peut être qu'elle l'avait vu. Peut-être qu'elle pense que c'est notre dernière chance. Papa. Elle m'a appelé papa, je n'arrive pas à y croire. Je m'arrête net dès qu'elle m'accroche. Je ne peux plus avancer, je ne veux plus avancer. Je baisse les yeux vers elle, elle me regarde. Son regard triste me fixe. Je peux y voir tout l'espoir que je reste. Je me baisse pour être à sa hauteur. Je reste quelques secondes sans parler, mon cerveau est perdu, je suis perdu, je ne sais plus quoi faire. Je n'ai pas le droit de leur faire ça, je ne pouvais pas revenir comme je l'ai fait pour finalement repartir car j'apprends la vérité. Est-ce que cette vérité vaut mon départ et la tristesse de Jez et Dia ? Sa façon de me regarder me fait regretter, toujours un peu plus que naturellement. Je la prend dans mes bras, j'ai besoin d'avoir les bras de ma fille autour de moi. Dia aussi veut de moi dans sa vie, j'avais tout gagné, une femme, ma fille. Merde, Jezabel je l'ai voulu pendant trois ans et dès qu'elle s'ouvre à moi je lui dit que je dois réfléchir. Non, je n'ai pas à réfléchir, c'est elle, juste elle, peut importe son nom de famille, peut importe d'où elle vient, c'est maintenant à moi de la protégé, de faire attention à elle. « Merci Dia. » Dis-je en lui déposant un baiser sur le front. Je me redresse. Je lui prend la main et on rentre dans la maison. Je lâche sa main, je cherche du regard Jezabel. Dia m'intercepte avant que je monte les escaliers, là vers où j'ai entendu Jezabel partir il y a quelques minutes. Elle me montre son dessin, elle avait envie de me le montrer. Je le prend dans les mains et elle me dit que c'est sa mère, elle et moi devant notre maison. Elle me dit qu'elle voulait dessiner un chien aussi mais qu'elle ne sait pas le faire. Mes yeux se sont mouillés. C'est ça sa vision de sa mère et moi, de nous. Je garde le dessin en main et je monte les escaliers ; J'arrive en territoire inconnu, j'ignore totalement où est sa chambre. J'ai envie d'ouvrir toutes les portes pour la trouver mais je fais faire du bruit, ça va peut être la stresser, chose que je ne veux pas. Je teste la porte à côté de la chambre de Dia – car il y a marquer son nom sur la porte, je ne suis pas devin-. J'ouvre doucement la porte et je la vois, allongée sur le lit. C'est de ma faute ça ? Non, je ne veux pas que ce soit de ma faute, je ne veux pas qu'elle aille mal, je veux qu'elle aille bien. Je m'approche d'elle, je regarde sur le lit, une boîte, vite fait je remarque qu'il a pas mal de papier, comme des lettres, comme des cadeaux. Je souris. C'est nous ça. Je m'accroupis devant elle, devant le lit. Je pose ma main sur sa joue, je la caresse. « Je suis désolé. J'ai compris. Dia m'a fait comprendre. J'ai besoin de vous. J'ai envie qu'on soit comme son dessin» Un dessin que je lui tend doucement.


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Dim 11 Juin - 23:02

   

   
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Dia n’avait jamais aimé voir sa mère pleurer et se rendre compte qu’elle était triste lui faisait prendre conscience que son père partait. La petite fille pensait qu’il ne reviendrait jamais et elle c’était donc précipitée à sa suite pour le retenir. Elle n’avait pas remarqué qu’elle l’avait appelé papa. Pour elle, c’était tout ce qu’il y a de plus normal. Même si cela ne faisait pas longtemps qu’il était dans sa vie, il était son père et elle voulait qu’il soit dans sa vie. Elle avait trop souffert de ne pas avoir sa présence. Ezekiel s’arrêta en sentant les bras de sa fille s’accrocher à sa jambe et Dia leva son regard plein d’espoir vers lui. Elle s’écarta légèrement quand il se pencha vers elle et elle hésita un court instant à lui montrer son dessin. La petite fille sourit en sentant son père la prendre dans ses bras et elle lui rendit son câlin en souriant. Elle aimait déjà beaucoup son papa, il était gentil et fort. Sa maman lui avait beaucoup parlé de lui depuis le jour où il l’avait ramené à la maison et où elle n’était pas bien. Elle lui avait dit qu’il sauvait des gens et mettait les méchants derrière les barreaux. Elle eut un petit sourire en entendant son père la remercier avant qu’elle n’ait droit à un bisou sur le front. Ils rentrèrent main dans la main dans la maison et avant que son père ne monte l’escalier, Dia lui montra enfin son dessin. Elle s’excusa même de ne pas avoir fait de chien mais elle n’avait su les dessiner. Son père attrapa son dessin et monta l’escalier. Dia partit s’installer à sa petite table pour dessiner à nouveau.

Pendant tout ce temps, j’étais resté dans ma chambre, pleurant… Enfin, m’étouffant serait le mot juste. J’avais le plus grand mal à me calmer, à respirer calmement alors que mon cœur était brisé. Kiel me quittait définitivement, il n’avait pas supporté que je lui mente sur ma véritable identité. Parce qu’il avait beau dire qu’il devait réfléchir, quel couple pourrait se relever d’une telle chose. J’avais définitivement tout gâché, Dia ne verrait certainement jamais son père. Pour un peu, j’en regrettais presque de lui avoir dit qu’il avait une fille. Après tout, il était venu dans sa vie pour en repartir pratiquement tout de suite. J’avais donné un faux espoir à ma princesse, celui que son père ferait partie de sa vie. Je m’en voulais tellement, pour tout. Si seulement je n’étais pas partie ce jour-là de Californie, tout serait différent. Pleurant, je n’entendis pas la porte de ma chambre s’ouvrir ni les pas sur le parquet se rapprocher de mon lit. Je ne peux que sursauter quand je sens une main se poser sur ma joue. J’ai tout de suite reconnue le contact, c’est la main de Kiel. Je secoue la tête pour échapper à son contact, écoutant à moitié ce qu’il me dit. Je veux qu’il parte, il devrait déjà être parti. Je déteste que l’on me voie en situation de faiblesse et je veux qu’il parte. Ouvrant difficilement un œil, je vois qu’il me tend quelque chose. Je jetais un regard rapide avant de voir qu’il s’agissait du dessin de Dia. Elle avait marqué les noms au-dessus des bonhommes en fils de fer mais au-dessus du bonhomme censé représenter Ezekiel, il n’y avait pas son surnom, il y avait marqué papa. Sentant mon cœur se briser un peu plus, je remis mon visage dans l’oreiller, pleurant encore un petit peu plus qu’avant. A croire que c’était possible… Mais Kiel avait laissé sa main sur ma joue malgré l’envie que j’aie qu’il l’enlève. Oh et puis zut hein. Délaissant le coussin, je glissais mes bras autour du cou du jeune homme, glissant ma tête dans son cou pour pleurer. On aurait pu croire que j’étais devenue un koala mais c’était toujours ce que j’avais fait avec le jeune homme quand j’avais eu besoin de réconfort. Kiel avait toujours su comment me calmer même quand il était la cause de mes larmes. « Je suis… Désolée… Tellement… Désolée… » J’essayais vainement de parler mais je m’étouffais encore plus, je cherchais mon air, essayant de me calmer sans réellement y arriver.
   

   

   
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Mar 13 Juin - 22:33


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Je n'ai jamais aimé voir Jez triste. Dès qu'elle avait une baisse de moral, j'essayais toujours de trouver quelque chose pour qu'elle sourit à nouveau. J'étais toujours prêt à aller me battre avec la personne qui l'avait rendu comme ça. Aujourd'hui, c'est moi qui la rend triste et j'aimerais me battre contre moi-même, peut-être que ça me fera comprendre que je n'avais pas à la traiter comme ça. Puis mes agissements sont complètements contraire à ce que je dis. Je lui ai dis que j'aurais pu la protéger si elle m'avait dit ça il y a trois ans, qu'est-ce qui change aujourd'hui ? Rien, je peux toujours la protéger, or je pars, je la laisse. Si Dia n'était pas arrivé, ne m'avait pas agripper la jambe, je n'aurais même pas pu me regarder dans le miroir, tellement je ne suis qu'un pauvre type. Elle a besoin de moi, c'est pour ça qu'elle me l'a dit. Elle voulait me faire confiance et j'ai juste fuis. C'est avec la façon dont m'a appelé Dia que j'ai pris conscience. Oui j'ai pris conscience que ce sont elles ma famille, que j'ai personne d'autre à par elles. Bon, j'ai ma sœur mais je sais qu'elle ne restera pas éternellement, qu'elle ne doit pas rester éternellement, je lui souhaite tellement le meilleur, qu'elle trouve un homme qui fasse attention à elle, un homme qui s'occupera d'elle comme moi je m'occupais de Jezabel à l'époque. J'ai toujours voulu le bonheur de Jezabel et son bonheur est auprès de moi, je sais que personne ne pourra lui donner ce que je lui donne. Même si c'est durs parfois, on s'est toujours aimé, on a toujours su compter l'un sur l'autre, je sais qu'elle sera toujours là pour moi. Je lui monté à sa chambre, je l'ai cherché, je l'ai retrouvé. Je ne voulais pas la perdre à nouveau, je savais combien j'avais souffert de son absence, je ne pouvais pas tout gâcher maintenant qu'on était à nouveau ensemble. Je lui ai apporté le dessin de Dia car il faut croire qu'elle avait compris avant moi qu'on formait une famille à présent. Sur ce dessin, ce n'était même pas écrit nos prénoms mais maman et papa. Une fois dans sa chambre, je suis allé poser ma main sur son visage, le caresser, lui montrer que je suis là, que j'avais fait une bêtise et que je regrette. Elle a voulu enlever ma main de son visage mais j'ai résister, elle ne sait pas combien ça me fait du bien d'avoir ce petit contact. Elle glisse son bras autour de mon cou et vient mettre sa tête dans mon cou pour pleurer. De ma main, je caresse ses cheveux, essayant de la calmer. Je ne veux plus qu'elle pleure à présent. « Ne le sois, c'est moi. Calme toi, tout va bien allait maintenant. » J'embrasse ses cheveux, je veux qu'elle sent que je suis là pour la protéger, que je vais être fort pour nous, nous trois. « Je t'aime Jezabel Windsor. »


Ezekiel Malone
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Sam 17 Juin - 23:09

   

   
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J’étais tellement idiote. J’aurais dû y aller plus doucement pour avouer la vérité à Ezekiel. Tout ce que j’avais réussis à faire, c’était le faire fuir. Je l’avais perdu. J’ignorais que Dia avait été cherché le jeune homme, qu’elle l’avait empêché de partir. J’étais occupée à pleurer, la tête dans mon oreiller, incapable de me calmer. J’avais récupérer le bracelet que mon amour m’avait offert comme premier cadeau. Je ne l’avais pas porté pendant trois ans mais désormais, j’avais besoin d’avoir quelque chose qui me rappellerait qu’il m’avait aimé. J’avais laissé la boite à souvenir sur mon lit mais je m’en fichais, je ne me doutais pas qu’Ezekiel allait venir se faire pardonner. Je n’entendis pas la porte s’ouvrir, ainsi, je ne pus que sursauter quand je sentis une main se poser sur ma joue. J’essayais de tout faire pour qu’il me laisse pleurer, qu’il ne rende pas la séparation encore plus douloureuse. Enfin, séparation… Nous ne nous étions pas réellement remis ensemble alors ce n’était pas réellement une séparation. Mais il insista, me présentant le dessin de Dia. Mes larmes redoublèrent quand je vis qu’elle avait appelé Kiel papa. Pour elle, nous étions une famille et j’avais tout gâché. Il avait laissé sa main sur ma joue et je finis par me glisser contre lui. Je ne pus m’empêcher de sourire en sentant sa main caresser mes cheveux. J’avais toujours aimé quand il faisait ça et cela n’avait pas changé avec le temps. Je commençais doucement à me calmer et j’essuyais mes joues alors qu’il me disait que ça allait aller désormais. Je gardais cependant ma tête dans son cou, respirant son odeur, ce parfum que je lui avais offert et qu’il continuait de porter. Cela me faisait plaisir de sentir cette odeur sur lui. Je me redressais finalement quand il ajouta qu’il m’aimait, m’appelant par mon véritable nom. J’eus un petit sourire avant de poser mes lèvres sur les siennes, en un baiser un peu humide. Je resserrais mes bras autour de lui, incapable de me détacher d’Ezekiel pour le moment. J’entendis alors la porte grincer et je tournais doucement la tête en souriant quand Dia grimpa sur le lit. Je tendis un bras vers elle et notre fille vint prendre part à notre câlin. Nous étions réellement une famille désormais, cela faisait le plus grand bien. Reportant mon regard sur Ezekiel, j’eus un petit sourire avant de déposer un léger baiser sur la joue du jeune homme. « Reste ce soir, s’il te plait… » J’avais envie qu’il reste, qu’il découvre un peu nos petits rituels du soir à Dia et moi-même. Et j’en avais assez de dormir toute seule tout en sachant qu’il était quelque part dans la ville. Il était peut-être un peu tôt pour lui proposer de rester vivre avec nous pour tous les jours mais ce soir, ce serait déjà un bon début.
   

   

   
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Lun 19 Juin - 14:58


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Ezebel


En rentrant, je n'avais fait attention qu'à elle, qu'à ses larmes. Je m'en voulais de l'avoir fait pleurer mais je remerciais intérieurement Dia de m'avoir rattrapé, de m'avoir dit de rester, de m'avoir appeler papa, de m'avoir montrer son dessin. Elle est plus intelligente que nous, elle voyait déjà que l'amour que l'on a l'un pour l'autre crève les yeux. Dia voulait sa mère heureuse et ça se comprenait. Elle aurait pu m'en vouloir de l'avoir mis dans cet état mais au lieu de ça, elle a joué les cupidons et nous a à nouveau rassembler. J'avais posé le dessin devant le regard de Jezabel pour lui montrer comment notre fille nous voit, comme une famille et je voulais lui faire comprendre que j'étais là car je n'avais pas le droit de partir. Sans Dia, je serais sûrement déjà chez moi à regretter ce que j'ai fait, en n'osant pas revenir car je l'ai blessé. Quand elle passe son bras autour de mon cou je crois reconnaître un objet à son poignet mais peut-être que c'est moi qui ait mal vu alors je ne dis rien. Pourtant, sur le lit il y a une boîte, des souvenirs, ça se voit de loin, des morceaux de notre amour. J'avais fait attention de dire son vrai nom de famille pour lui faire comprendre que maintenant ce n'est plus un problème. Je ne sais pas ce qu'ils pensent de moi, il voulait que je l'épouse, je voulais aussi l'épouser, on aurait pu être différent aujourd'hui mais on est ce qu'on est et j'aime ça. On doit vivre avec nos erreurs du passé, elle d'avoir fuit, moi de ne pas lui avoir fait connaître ma sœur. Ce sont ces erreurs qui nous ont amener ici, à ce baiser qu'elle m'offre à l'instant présent. Un baiser même si il est timide, humide à cause de ses larmes, un baiser que j'aime plus qu'avant je l'aurais aimé. Dia nous rejoint. J'aime ma famille à ce moment de ma vie. Je sais qu'on sera une famille bientôt. La vérité entre nous se fait entendre et quand elle sera bien établit, plus de secrets, ni de mensonges tout ira mieux. Je sais à présent que je n'ai plus à m'énerver comme je le fais, à ne plus le prendre mal alors qu'elle fait des efforts pour que l'on soit à nouveau quelque chose. Elle me demande de rester pour ce soir. J'aimerais rester auprès d'elle jusqu'à la fin de ma vie, je sais que c'est avec elle que je veux vivre alors j'accepte l'invitation. « C'est avec plaisir que je reste. » De ma main, j'essuie les larmes de Jezabel, je ne veux plus qu'elle pleure à présent, je veux revoir un magnifique sourire sur son visage. Même si Dia est là, je prend le bras de Jez pour vérifier ce que j'ai cru voir tout à l'heure. Oui, c'est bien ça. Le premier cadeau que je lui ai offert, un bracelet que j'avais fait moi-même. Je voyais tous mes amis offrir de beaux bijoux à leurs copines, moi j'avais les moyens de lui acheter le plus beau bracelet de la bijouterie mais je voulais quelque chose de plus personnel. Je savais que j'aurais tout mon temps pour lui en offrir plus tard alors j'ai fabriqué ce bracelet, le soir dans ma chambre, à l’abri des regards. Je voulais qu'il soit parfait, je voulais qu'elle soit heureuse et je pense qu'elle l' tout de suite aimer. Ca me fait chaud au coeur de voir qu'elle le porte là et qu'elle l'a toujours. Je n'aurais jamais cru qu'il allait survivre à tant d'années, décidément je suis plus doué avec mes mains que je le pensais. « Tu en as garder beaucoup des choses comme ça ? » dis-je avec un rire dans la voix.


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Mer 21 Juin - 17:08

   

   
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J’avais réellement de la chance d’avoir une fille aussi gentille, aussi attentionnée. Si elle n’avait pas été cherchée Ezekiel, le jeune homme serait parti et je ne l’aurais jamais revu. Maintenant, j’avais une famille, un homme qui m’aimait et une fille qui faisait mon bonheur. J’avais été terriblement touchée par les mots inscrits au-dessus des bonhommes nous représentant. Maman et Papa… Sa famille. Nous étions sa famille, nous étions ses parents et tant pis qui nous étions réellement. Cela ne semblait pas poser de problème à Ezekiel étant donné la façon qu’il avait eu de m’appeler. Et j’en étais heureuse, cela représentait tant pour moi qui m’accepte en sachant que je n’étais pas n’importe qui, que cela m’avait fait souffrir dans le passé. Je n’avais eu que peu d’amis en dehors de Kate, que j’avais rencontrée à Cambridge et qui était devenu depuis ma belle-sœur. Les autres avaient complètement changé en apprenant que la fille Windsor, c’était moi, que j’étais le fruit d’une union extra-conjugale. Les anglais avaient tendances à adorer Diana et savoir que j’étais le fruit d’un amour où Diana n’était pas, cela avait le don de les rendre méchants. J’avais beaucoup souffert des tabloïds et des journalistes. Je devais également reconnaître que partir en Californie, ce n’était pas le mieux que j’ai pu faire. Mais j’avais ainsi pu rencontrer Ezekiel et ça n’avait aucun prix. Grâce à ça, j’avais la chance d’aimer un homme qui m’aimait pour la femme que j’étais réellement et pas pour le titre. Et surtout, j’avais une fille. Une adorable petite fille qui me faisait sourire même quand je pensais que cela m’était impossible. Dans les bras de l’homme que j’aimais, Dia vint s’installer contre nous et je refermais mes bras sur ma fille, la serrant contre nous. Voilà ce que je voulais, une famille unie. Néanmoins, je me remis à penser à ce qu’Ezekiel m’avait dit, concernant sa famille. Georges Malone… Je ne connaissais pas ce nom mais je savais qu’il était cameraman, Ezekiel me l’avait dit. Mais je préférais attendre avant d’en reparler. Je proposais à Kiel de rester ce soir, j’avais envie qu’il reste, qu’il ne parte que demain. Je ne pus retenir un sourire quand il me répondit qu’il, resterait avec plaisir, me faisant rire légèrement. Alors que je ne m’y attendais pas, il prit mon bras dans sa main et fixa mon poignet. Je portais toujours le bracelet qu’il m’avait offert. Je l’avais toujours aimé, il était fait main par Ezekiel et c’était la plus belle preuve d’amour qu’il avait pu me donner. Alors le porter avait été pour moi une évidence. Il me demanda si je gardais beaucoup de choses dans le genre et je hochais doucement la tête. Je laissais Dia dans les bras de son père pour récupérer la boite à souvenir se trouvant sur le lit avant de reprendre ma place contre Ezekiel. Dans cette boite, il y avait de tout. Des photos, des cadeaux et même des post-it que beaucoup auraient pu considérer comme insignifiants. Mais pour moi, ils étaient plus importants que tout. Ils représentaient ce que nous avions de plus cher Ezekiel et moi, notre amour. « J’ai gardé beaucoup de choses en souvenir de nos trois ans de vie commune… Même la rose en plastique que tu m’as offerte à la saint valentin, caché dans un bouquet de rose de la même couleur en me disant que tu m’aimerais jusqu’à ce que toutes les fleurs soient fanées… » Quand j’avais découvert que l’une des fleurs étaient en plastiques, j’avais réellement fondue devant le romantisme du cadeau. J’avais également gardé une séance photo que nous avions improvisée dans un photomaton entre deux cours à la fac. Je le pris entre mes doigts pour le montrer à Ezekiel, riant en me souvenant de la barre de rire qui avait suivi la découverte des photos.
   

   

   
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Sam 24 Juin - 14:55


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Ezebel


A cet instant précis, je suis heureux d'être avec elles. J'ai à présent une famille, ce dont j'ai toujours rêver. Je n'avais pas le droit de les laisser, d'abandonner mon rêve surtout que Dia est ma fille. Je me souviens de quand j'ai vu Dia pour la première fois, je voulais faire la peau du monde entier quand j'ai pensé qu'elle avait eu quelqu'un d'autre, que c'était ce quelqu'un d'autre qui lui avait fait un enfant. Alors que non, il n'y avait eu personne d'autre, il n'y avait que moi. Alors, par les gestes de ma fille, j'ai comprit que je n'avais pas le droit de partir, elle m'a attendu si longtemps, je ne peux pas lui gâcher le souvenir qu'elle a de moi en partant lâchement. C'est ici que va se passer ma vie, c'est ici que je veux passer ma vie, dans leurs bras, près d'elles pour les protéger. Elle me laisse Dia dans les bras pendant qu'elle attrape la boîte qu'elle avait mis sur son lit. D'un coup d'oeil je regarde ce qu'il y a dedans, je suis sûr que je ne vois même pas la moitié de tout ce qu'elle a gardé. Mais ça me fait plaisir, moi je n'ai pas eu l'intelligence de faire ça, j'espère que ma mémoire ne me lâchera jamais et que jamais je n'oublierais ce qu'on a vécu. Ca paraît bête car au bout de beaucoup d'années, notre mémoire nous joue des tours mais j'espère toujours que Jezabel sera là pour me dire « Mais non, ce jour là on a mangé une tarte au fraises, pas un éclair au chocolat ». Peut-être même que ce sera Dia qui nous rappellera des choses. Je n'ai pas hâte d'être vieux, loin de là, mais j'ai hâte que l'on vieillisse tous les trois ensemble, qu'on se construise des souvenirs. Je souris quand elle me parle de la rose en plastique que je lui avais offerte. J'avais vu ça dans un téléfilm, je savais que Jez aimait tout ce qui était romantique et ce genre de téléfilm alors je n'ai pas hésité à faire la même chose. Je suis allé au fleuriste, je lui ai acheté un bouquet de rose et j'ai placé au milieu d'elles une rose en plastique. Une célèbre phrase qui disait que je l'aimerais jusqu'à ce que la dernière rose fane. « Elle n'a pas fané et je suis toujours là, malgré ces dernières années. » J'attrape la rose, j'aimerais tellement qu'elle la pose quelque part dans la maison pour que l'on se rappelle notre amour qui dure depuis tant d'années maintenant. Elle attrape des photos, je les regarde et je ne peux pas m'empêcher de rire. On était si jeune, déjà si amoureux à l'époque. C'était à une pause de midi, on avait qu'une heure pour manger mais je voulais qu'on passe cette heure ensemble. On est sortis de la fac car il faisait beau, il y avait un grand soleil. On se tenait par la main, on était heureux, heureux de montrer au monde entier qu'à nos yeux on était le couple parfait. On avait manger assez rapidement. A l'époque de la faculté, c'était rare qu'on se fasse de grands repas le midi, surtout quand on avait qu'une heure pour manger. Mais sur le chemin, au centre commercial, on est tombé sur un photomaton et on a fait des photos. On savait que ça restera dans les souvenirs. On avait beaucoup rit et encore plus quand on a vu nos têtes. Encore aujourd'hui on rit, ce souvenir est si précieux, l'un des premiers que l'on a construit ensemble. « Je ne pensais pas que tu allais garder ça. » Quand je regarde Dia, même si elle est encore qu'une petite fille de trois ans, j'espère qu'elle trouvera quelqu'un dans sa vie et que sa relation sera comme la mienne avec Jezabel, très rarement à se prendre la tête, toujours à vivre au jour le jour pour ne pas manquer un seul événement de nos vies. Je me souviens que j'ai mon porte-feuille sur moi, je le sors de ma veste et l'ouvre, je cherche parmi des papiers, il faudrait vraiment que je pense à ranger ça. J'en sors un trèfle à quatre feuilles. On l'avait trouvé lorsqu'on était assis dans le parc de la faculté, c'était même Jezabel qui l'a trouvé et elle me l'avait donné pour me porter chance pour mes examens. Mais, depuis qu'elle était partis, même si ils ne durent qu'un an, je l'avais gardé, je pensais que ça me donner de la chance pour la retrouver.


Ezekiel Malone
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Lun 26 Juin - 17:54

   

   
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   Ezebel
   

   

   
J’étais bien dans les bras d’Ezekiel, je ne voulais pas en bouger. Mais il semblait curieux de voir ce que j’avais gardé de nos trois premières années de vie commune alors je quittais un court instant ses bras pour aller attraper la boite. Cette boite que j’avais caché dans mon dressing pendant les années où j’avais fui le jeune homme, élevant seule Dia. Je l’avais ressorti la première fois quand je l’avais revu à la soirée vernissage de la galerie d’art. Et je l’avais souvent regardé depuis, ne permettant pas à Dia de la regarder cependant. Je ne voulais pas lui faire de faux espoirs. Kiel et moi avions été proches pendant trois années mais je ne savais pas ce qu’il voulait quand il m’avait retrouvé. Mais désormais, je savais qu’il voulait de nous dans sa vie et je pouvais donc montrer les souvenirs, nos souvenirs à notre fille. Dia n’était plus ma fille, elle était notre fille. Et cela me faisait du bien. Tout irait bien mieux maintenant que son père faisait à nouveau partie de nos vies. Je lui montrais la rose en plastique qu’il m’avait offerte secrètement, caché dans un bouquet de vraies roses. J’allais lui trouver une place stratégique dans le manoir, peut-être dans un petit vase sur la table du salon. On ne pourrait pas la rater ainsi et elle nous rappellerait par quoi nous sommes passés tous les deux. Je sortis également un photomaton que le jeune homme et moi-même avions réalisé pendant une pause repas lors de nos années fac. Je ne pouvais m’empêcher de sourire en me souvenant de cette journée et des autres également. Dans notre promotion, ce n’était un secret pour personne que nous étions ensemble, cela se voyait dès la pause. Et pourtant, pendant les cours, nous étions avec nos amis respectifs, rarement assis côte à côte. Je ne pus m’empêcher de rire quand il ajouta qu’il ne pensait pas que j’allais garder tout cela. « Bien sûr que si. J’ai gardé tout ce que tu m’as offert, même le plus cadeau le plus insignifiant selon toi. » Je le regardais alors sortir son portefeuille et chercher quelque chose dedans. Je ne peux empêcher mes yeux de briller un peu plus quand je vois ce qu’il sort. Un trèfle à quatre feuilles… Certainement celui que j’avais trouvé un après-midi où nous étions allongés dans les jardins de la fac en Californie. Je l’avais trouvé mais je lui avais offert pour lui porter chance pour ses examens. Je savais que ce n’était qu’une légende mais c’était plus le symbole qui comptait pour moi. Je souris en tournant la tête vers le jeune homme. « Et moi, je ne pensais pas que tu l’avais gardé tout ce temps… » Comme quoi, tout arrivait. Dia se redressa et regarda ce que nous nous montrions. Elle ne put s’empêcher de rire devant le photomaton avant de se réinstaller contre son père. J’embrassais le front de ma fille en souriant avant de faire de même sur les lèvres d’Ezekiel. Dia eut une petite grimace alors que je lui ébouriffais les cheveux. « Faudra t’y faire jeune fille. Allez, tout le monde debout, je vous invite au restaurant ce soir. » J’avais envie de sortir et comme Ezekiel restait là ce soir, autant en profiter pour faire une sortie en famille. Je ne savais pas encore où nous allions pouvoir aller mais je savais que j’allais pouvoir compter sur Kiel et Dia pour m’aider à choisir.
   

   

   
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Mar 27 Juin - 19:25


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Ezebel


Je ne pensais pas qu'elle allait garder tout ça, en commençant par le bracelet, je pensais qu'il n'allait pas tenir autant d'année, il faut dire que j'ai la main bricoleuse. Puis cette rose, elle aurait pu la jeter vu que pendant trois ans on n'était pas ensemble. Dans un instant de colère j'avais jeter beaucoup de chose qui était à nous. J'avais même quitté l'appartement que l'on partager pour ne pas revivre les souvenirs que l'on avait alors qu'elle n'était plus là. Je dois dire qu'au début, je lui en voulais tellement d'être parti que je n'ai plus rien voulu en rapport avec elle. Pendant la première année je ne voulais pas penser à elle, je ne voulais rien qui me la rappelle. Aujourd'hui je regrette d'avoir tout jeter. Elle a été plus forte que moi à tout gardé. Oui elle a été courageuse car elle devait penser qu'on ne reviendrait jamais ensemble vu qu'elle pensait que j'en aimer une autre. Elle ne peut pas savoir à quel point j'aime voir tout ces petites choses, même insignifiante pour moi comme elle le dit. Maintenant j'ai juste à me dire qu'on va s'en faire des nouveaux des souvenirs et en plus à trois. J'avais juste été incapable de jeter ce trèfle car à chaque fois que je le vois, je revois son sourire, son enthousiasme quand elle me l'a donné, je ne voulais pas que son sourire ne quitte mon esprit alors je l'avais gardé. Quand elle me dit qu'elle ne pensait pas que je l'aurais gardé, je lui souris. Après tout, il me portait chance encore aujourd'hui car elle est devant moi, car on s'est revu sans que je me casse la tête à savoir où la trouver, à trouver quoi lui dire. On avait improviser chacun de notre côté et doucement on s'est reconstruit ensemble. Elle m'a reconstruit, je suis différent depuis que je l'ai revu, tous mes sentiments pour elle me donnent le sourire, penser qu'elle est si proche de moi me fait du bien et les gens avec qui je travaille me l'ont dit. Je suis différent, ils voudraient que je leur dise pourquoi mais j'attendais avant de leur dire, maintenant je vais pouvoir crier sur tous les toits que j'ai revu celle que j'aime et qu'elle m'aime toujours autant, voir plus. Dia est adorable, elle regarde ce qu'on se montre, elle rit aux photos du photmaton. Elle doit se demander comme tous les enfants « ah bon vous avez été jeune aussi ? » on s'est tous déjà posé ses questions. Personnellement, j'ai aucune idée de ce qu'étaient mes parents avant que je vienne au monde. Certains sites donnent des rumeurs sur l'adolescente qu'était ma mère mais je ne veux pas les écouter, je sais qu'elle n'était pas celle qu'ils disent et puis même, si je veux savoir, je n'ai qu'à lui demander. J'aime la grimace de Dia quand Jez m'embrasse, une vraie enfant, notre fille. Je lui cache les yeux pour l'embêter pour pouvoir embrasser sa mère sans que mademoiselle grimace. Elle enlève ma main et je lui souris. Quand Jez nous dit qu'elle nous invite au restaurant pour le dîner, je me tourne vers ma fille que j'ai dans mes bras et lui tend ma main pour qu'elle fasse un tope là. Je me redresse. Dia est toute contente de sortir avec nous, notre première vraie sortie en famille. Combien de fois j'en ai rêver ? Et là ça se réalise. Je suis l'homme le plus heureux du monde. Ensemble, on sort du manoir après nous être préparer pour aller au restaurant. Dia nous a donné le nom d'un restaurant de la ville, je ne le connais pas mais après tout je ne suis pas souvent sortie dans la ville depuis mon arrivée, je n'en avais pas eu l'occasion mais maintenant, ça va changer.


Ezekiel Malone
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